Selon un sondage de KPMG auprès de 1450 entreprises du secteur publique et du privé, 61% des projets de TI échouent. Soit qu’ils n’entrent pas dans les délais, ne respectent pas les budgets ou offrent une qualité insatisfaisante.
Il n’y a pas de statistiques spécifiques au domaine des communications, mais nous pouvons déduire que la tendance doit être très proche. La seule différence est que souvent en communication les objectifs ne sont pas très clairs donc l’appréciation du succès devient purement subjective.
Intéressant!
🙂
Si échouer c’était réussir autrement ? Votre billet m’a fait penser à un article paru dans le no2 du magazine Premium (p. 150-160) qui présente une vision intéressante pour apprivoiser l’échec d’une autre façon. Grosso modo, l’article est basé sur une étude expliquant pourquoi les travaux scientifiques de grands chercheurs réussissent ou échouent. La science est un domaine où la quête de résultats peut être très frustrante. Dans plus de 50% des cas, les chercheurs obtiennent des résultats inattendus (cherchent X et trouvent Y, recueillent des données qui ne font aucun sens, utilisent un modèle qui ne s’applique pas, etc.). Comment les chercheurs surmontent-ils ces échecs ? En étant conscient du mythe de l’objectivité, car nous cherchons des preuves et appliquons des méthodes qui confirment nos croyances ; en tentant de résoudre un problème avec une personne qui ne parle pas le même langage que nous ; en n’ignorant pas nos échecs et en s’ouvrant à de nouvelles découvertes.